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Il y a 74 citations sur l'islam.
Taleb Ibrahimi…personnalité politique??? Je rêve!!!! Fossoyeur de l école et de l islam algérien ,ça oui c est le dénominatif le plus indiqué … Il a préparé les jeunes générations à tomber dans le giron des salafistes et de tous les vices des pays du Golf!!! Pourquoi Tebboune va voir toutes ces vieilles carcasses qui ont échoué quand elles étaient au pouvoir et nous ont vendu à l Egypte et à l Arabie Saoudite ?On a besoin de renouvellement de la classe politique pas du recyclage des anciens !!! Algérie Patriotique — Pourquoi Tebboune se réfère aux ténors politiques et se détourne de ses «alliés» - Algérie Patriotique
Il faut reconnaître qu’entre ces communautés, un équilibre solide a longtemps prévalu. Il repose sur trois éléments. Premièrement, la pratique d’une langue commune, le dioula. Vient ensuite un islam qui, tout en prenant le pas depuis un siècle sur les rites traditionnels, ne les a pas pour autant chassés. Une certaine forme de syncrétisme est tolérée. Enfin, les alliances, ou « parenté à plaisanterie » [pratique ouest-africaine qui consiste en moqueries réciproques et permet aux populations de faire baisser les tensions et d’éviter le recours à la violence] ont pacifié les relations entre certaines populations et servent de liant entre elles. Le Monde.fr — « La Côte d’Ivoire constitue une cible de choix pour les groupes armés »
Une situation que confirme Issiaka Koné, socio-anthropologue à l’université Alassane Ouattara de Bouaké qui voit dans cet entrisme des organisations saoudiennes et étrangères une manière « d’implanter leur idéologie, celle d’un islam salafiste et donc radical, en Côte d’Ivoire », revendiqué par de nombreux groupes armés du Sahel. Connectionivoirienne.net — L’islam «du juste milieu», fragilisé par une percée du salafisme en Côte d’Ivoire - Connectionivoirienne.net
Il ne faut pas se tromper ! À moins d’arrière-pensées coupables que tout esprit libre doit dénoncer, il n’y a pas de sacrifice obligatoire en islam en dehors du pèlerinage. Tout le reste c’est de l’ergoterie. De plus, il y a une terrible confusion en matière de célébration des traditions, ce qui facilite leur instrumentation idéologique. Contrepoints — Variations iconoclastes sur la fête du sacrifice en islam | Contrepoints
Ces nouveaux négociants des temps modernes qui vendent à qui veut acheter un islam à la carte et des fois poussent le vice jusqu’à émettre des fatwas sur les droits des femmes qu’ils veulent nikabées mais actives politiquement ou même activistes “guerrières” offrant leurs corps à ceux qui ont besoin d’endorphine pour ensuite égorger “euphoriquement” leurs frères musulmans. Ces négociants qui ont développé le commerce des stupéfiants pour mieux posséder leurs jeunes victimes idéalistes et les pousser à l’extrémisme et au terrorisme. Webmanagercenter — Tunisie - Partis politiques: La gauche et Ennahdha, deux faces d'une même médaille | Webmanagercenter
Cela est dû à l’émergence d’une accentuation de la place de l’exotérisme dans la vie des musulmans. Le soufisme ne s’est jamais vu ainsi. Les maîtres soufis ont des chaînes de transmission initiatiques qui remontent à la personne même du Prophète (PBDSL) et considèrent donc qu’ils sont les gardiens de l’islam aussi bien dans son ampleur que dans sa profondeur, un islam complet. Mizane info — Abdel Hafid Benchouk : « Le soufi ne vit pas retiré hors du monde »
Les vrais empires sont rares. Le chinois, l’indien, le romain… lesquels se perpétuent sous des avatars successifs. Tard venu, l’empire islamique, lui, a surgi du désert et, loin d’être éphémère comme bien des conquêtes, a réussi à imposer une autre religion, une autre écriture, une autre langue. Un premier islam qui évoque l’instauration du califat, les dynasties omeyyade, abbasside ou fatimide, la splendeur de villes comme Damas, Bagdad, Cordoue… Sur ces cinq siècles décisifs qui courent de la mort du Prophète en 632 à l’émergence des sultanats turcs au XIe siècle, le médiéviste Gabriel Martinez-Gros nous offre un ouvrage d’une stimulante originalité. Le Figaro.fr — Au temps de l’islam impérial avec Gabriel Martinez-Gros
L’essai établit un rapport entre islam et fondamentalisme ainsi que christianisme et fidéisme. La thèse de Xavier Dufour se résume dans le principe philosophique suivant : la connaissance apporte la liberté. « Il faut parler de Dieu, des religions en général, et plus particulièrement de la tradition biblique à cause de son importance pour l’histoire occidentale, mais aussi des autres courants religieux, y compris de l’athéisme sous ses diverses formes », écrit-il. CULTURE RELIGIEUSE : Connaître les religions pour mieux vivre en société | Lire pour croire…
Nous sommes pour un islam gallican, français, un islam de France, une manière française de vivre la tradition religieuse islamique et l'élévation spirituelle. Il faut organiser le culte islamique dans notre pays, par des imams sérieux, formés, compétents, des recteurs de mosquées intègres, propres, tout aussi connaisseurs des questions religieuses, théologiques et islamologiques. Il y a des aspects sociaux relevant de l'insertion dans le tissu social, tout cela avec une adhésion au pacte républicain, dans un esprit républicain. Franceinfo — Fin de l'accueil des "imams détachés" en France : "C'était des annonces attendues depuis des lustres", selon la fondation de l'islam de France
FIGAROVOX/TRIBUNE - Le débat sur le port du hijab divise la classe politique jusque dans la majorité. Mais pour la journaliste Christine Clerc, ce voile musulman n’est pas un signe religieux comme un autre: il est l’étendard d’un islam radical estime-t-elle. Le Figaro.fr — Le hijab est-il un signe religieux ou un signe politique hostile aux démocraties?
En terres d’Islam, l’historiographie récente tend à rejeter l’idée d’un islam classique sunnite, préférant désormais insister sur la pluralité des appropriations de la religion. Dans ce paradigme, intégrer les marges de l’Empire, longtemps perçues comme des repaires d’hérétiques, est devenu une nécessité. La redécouverte des sources produites dans ces territoires marginaux permet un renversement de perspective et invite à s’interroger sur les défis que posent ces nouvelles approches. Intégrer les marges au Moyen Âge. Ve-XVe s. (Lyon)
Devant les foules immenses venues l’écouter, il ne se présente plus que drapé dans un boubou blanc, couleur de la pureté en islam et de la probité en politique. L’imam Mahmoud Dicko aime jouer sur les deux tableaux. Depuis qu’il a pris la tête d’une coalition composite mêlant partis politiques et mouvement religieux début juin, appelée « Mouvement du 5 juin », un vent de panique parcourt l’échine du pouvoir malien. Il faut dire que le prédicateur sait exalter les nombreuses frustrations d’une population rassemblée par dizaines de milliers lors de manifestations qu’il orchestre d’un verbe assuré. Le Monde.fr — Mali : comment l’imam Mahmoud Dicko est devenu la figure de proue de l’opposition
La Turquie est un cailloux à double tranchant dans la chaussure de l’Europe (voir de l’OTAN). Au caractère historiquement égémonique des ottomans refoulés sur l’actuel Turquie en 1918, s’ajoute celui d’un islam immiscible que ses déviances extrémistes insupportent par ailleurs. Erdogan aurait probablement « envahi » une Europe impregnée de ses valeurs universelles qui aurait pu lui ouvrir ses portes, s’il avait suivi les pas d’un Atatürk européaniste. Au lieu de cela, il creuse le fossé d’une séparation durable avec l’Occident qu’une visite à Chypre nord (*) ou dans les Balkans permettra de mesurer pour qui en douterait. AgoraVox — Les divergences entre la Turquie et plusieurs pays de la Méditerranée s'accentuent - AgoraVox le média citoyen
Ajoutons que cette question des rapports entre islam et (post)modernité a déjà été largement sur-investie sans qu’aucune réponse satisfaisante n’ait été pour autant formulée, la plupart des avis plaidant pour une modernisation de l’islam, une islamisation de la modernité ou l’affirmation stérile d’une irréductible inconciliabilité entre eux, sans autre forme de proposition. Mizane info — Fouad Bahri : «L'islam est porteur d'un renouveau de la pensée dont les intellectuels musulmans ne soupçonnent pas l'ampleur»
Il s’agit de ne pas dénaturer un legs. Il faut au contraire l’entretenir, le développer, de façon à vivre enfin sans complexe un islam que les parents n’ont pas eu la possibilité de vivre (ramadan aléatoire, tête baissée devant l’autorité française, le voisin français...). C’est toute une partie du «Livre des indésirés: une histoire des Arabes en France»: la deuxième génération, née «vernie» en France en dépit de discriminations, chanceuse par rapport aux conditions de vie dans les pays d’origine, s’est infligé des épreuves et des mortifications, notamment religieuses, comme une dette à payer envers leurs parents restés sans défense face à «l’ État français», colonial il n’y a pas si longtemps encore et qui le restait vis-à-vis d’eux et de leur descendance - tel est l’un des récits fondateurs de la deuxième génération. Le Figaro.fr — Antoine Menusier: «Dans la tête des militants de l’islam politique»
« La Côte d’Ivoire me semble encore protégée de cela, tranche d’emblée Marie Miran-Guyon, maîtresse de conférences à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) et spécialiste de l’islam ivoirien. Il existe une originalité ivoirienne dans le fait que l’islam n’y est ni majoritaire, ni minoritaire. Il s’agit d’un islam du juste milieu, modéré, structuré et institutionnalisé autour de la grande faîtière qu’est le Cosim. » Le Monde.fr — En Côte d’Ivoire, l’islam « du juste milieu », fragilisé par une percée du salafisme
Cette volonté de construire une nation laïque sans le peuple ne survivra pas à la disparition d'Atatürk. (...) C'est parce qu'Erdogan est plus démocrate qu'Atatürk qu'il peut fermer la parenthèse kémaliste en se servant de l'Etat fort qu'il lui a laissé. C'est parce qu'il a gagné toutes les élections depuis 2002 qu'il redonne sa place à un islam majoritaire. Mais, une fois de plus, il avait été clair : «La démocratie est un moyen, non une fin : c'est comme un tramway, on en descend quand on est arrivé à destination.» Marianne — Islam : la leçon turque | Marianne
Aujourd’hui nous allons parler d’un phénomène en pleine expansion au Pakistan : la multiplication des écoles coraniques pour filles. Plus d’un demi-million de jeunes Pakistanaises s’y rend chaque jour, un chiffre qui a quadruplé en 10 ans. Financés par des organisations religieuses, ces établissements promeuvent un islam très rigoriste. Mais dans un pays où l’éducation est en berne, la madrasa, qui apprend aussi à lire et à compter, figure parfois comme l’une des seules alternatives à l’école classique. Elle apparaît aussi comme l’une des très rares voies d’émancipation pour les jeunes filles issues de familles très religieuses. RFI — Pakistan: essor des madrasas pour les filles, l'un des seuls moyens d'éducation - Reportage international
Une dégradation de la situation que tentent pourtant de prévenir les autorités ivoiriennes avec l’aide du Maroc. Depuis quatre ans, chaque année, une centaine d’imams ivoiriens sont envoyés en formation dans le royaume chérifien, haut-lieu d’un islam de rite malékite, pratiqué dans toute l’Afrique de l’Ouest, jugé modéré et promu par le Cosim. Le Monde.fr — En Côte d’Ivoire, l’islam « du juste milieu », fragilisé par une percée du salafisme
Sans dévoiler le contenu ou les orientations du futur projet de loi contre le séparatisme annoncé par le gouvernement, Gérald Darmanin a fait valoir que ce texte, qui sera présenté à la rentrée, fera office de remède contre les maux censés rendre « malade » le pays. « Quand on est malade, soit vous considérez que vous ne l'êtes pas et votre espérance de vie est limitée, soit vous en prenez conscience et il faut mettre un nom sur la maladie et trouver une médication. Le pays est malade de son communautarisme et désormais d'un islam politique qui veut renverser les valeurs de la République », a-t-il expliqué. Le Point — Loi sur le séparatisme : Gérald Darmanin agite le spectre de la « guerre civile » - Le Point